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Le journal quotidien du spectacle vivant en France. Critiques, annonces, portraits, entretiens, Off et Festival d’Avignon depuis 1991 ! Siège à Avignon, Vaucluse, P.A.C.A.

« Très près et très loin », de Friedrich Nietzsche (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, salle Roquille à Avignon

« Très près et très loin », de Friedrich Nietzsche (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, salle Roquille à Avignon

L’artiste et le public : droits et devoirs Attention : spectacle costaud ! On est ici dans du théâtre digne, ce qui ne veut pas dire « coincé ». De quoi s’agit-il ? Il s’agit de Friedrich Nietzsche, soi-même. Et il cause d’un sujet fondamental : l’art...

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« Le Retour », de Harold Pinter (critique de Vincent Cambier) Avignon Off 1992, La Luna à Avignon

« Le Retour », de Harold Pinter (critique de Vincent Cambier) Avignon Off 1992, La Luna à Avignon

And Teddy came back… Je connaissais un peu Harold Pinter à travers les films de Joseph Losey, et notamment « The Servant » où le valet finit par « posséder » totalement le maître. Dans le Retour, on fait connaissance avec une famille apparemment banale,...

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« Salomé », d’après Oscar Wilde (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, La Tache d’encre à Avignon

« Salomé », d’après Oscar Wilde (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, La Tache d’encre à Avignon

Mais pourquoi siffle cette Salomé ? Élisabeth Czerczuk nous dit à propos de sa Salomé : « Salomé, ce pourrait être Cléopâtre ou bien Marilyn, inconnue, méprisée et pourtant adulée, légende ou mythe… “L’aliénée d’ailleurs” dont la vie exaltée nous bouleverse,...

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« Une pucelle pour un gorille », de Fernando Arrabal (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, Théâtre du Chêne-Noir à Avignon

« Une pucelle pour un gorille », de Fernando Arrabal (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, Théâtre du Chêne-Noir à Avignon

À Pygmalion, Pygmalion et demi ! Partant d’un fait-divers qui a défrayé la chronique dans l’Espagne des années 1930, une troupe de forains raconte, à sa façon, l’histoire extraordinaire d’Aurora Rodriguez et de sa fille Hildegart… Arrabal le provocateur...

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Entretien avec Yves Sauton (réalisé par Vincent Cambier)

Interview d’Yves Sauton Auteur et metteur en scène d’« Électre, Antigone et les Autres » Le parti pris de lenteur, pourquoi ? Yves Sauton : C’était pour éviter toute forme de violence trop brutale et pouvoir faire entrer les choses petit à petit, plus...

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« Le Malentendu », d’Albert Camus (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, La Luna à Avignon

« Le Malentendu », d’Albert Camus (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, La Luna à Avignon

Soleil noir C’est incontestablement une pièce sombre, désespérée peut-être, désespérante sûrement pas. Tout arrive parce que le héros s’avance masqué et veut se faire aimer des siens sans être reconnu (il a quitté sa famille il y a vingt ans). Il revient...

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Entretien avec Philippe Avron durant le Off du Festival d’Avignon 1992 (réalisé par Vincent Cambier)

Interview de Philippe Avron Auteur et metteur en scène de « Avron-Évrard en liberté », « Big Bang » et « Dom Juan 2000 ». Philippe Avron : Bon, je vais répondre à la première question qui ne m’est pas posée ! Les Trois Coups : Depuis quand n’as-tu pas...

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« Salle des fêtes », de Philippe Minyana (critique), Avignon Off 1992, Théâtre du Balcon à Avignon

« Salle des fêtes », de Philippe Minyana (critique), Avignon Off 1992, Théâtre du Balcon à Avignon

Salle des veuves ou sales veuves ? Par Vincent Cambier Les Trois Coups.com J’ai vu « Salle des fêtes » dans un vrai théâtre (le Balcon), où la salle est climatisée et où on est confortablement assis. Rien à voir avec une « critique » théâtrale ? Peut-être....

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« Grasse matinée », de René de Obaldia (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, Le Salon de coiffure à Avignon

« Grasse matinée », de René de Obaldia (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, Le Salon de coiffure à Avignon

Soirée pas très grasse Le point de départ est certes surprenant. Deux cercueils sont sur la scène. Puis ils s’ouvrent, et nous découvrons leurs deux « habitantes ». À partir de là, celles-ci vont papoter entre deux trains qui passent (la voie de chemin...

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« La Thébaïde », de Jean Racine (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, cour du Chatelet à Avignon

« La Thébaïde », de Jean Racine (critique de Vincent Cambier), Avignon Off 1992, cour du Chatelet à Avignon

Le nouveau Racine est arrivé J’avais entendu dire que « la Thébaïde » était une œuvre poussiéreuse de Racine. Ça devait donc être injouable. Bon Dieu, quel choc ! C’est ma-gni-fique ! Et, question « poussière », quoi de plus actuel que la lutte pour le...

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