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14 septembre 2007 5 14 /09 /septembre /2007 18:30

Un équipage hors du commun

 

Depuis quelques jours à Paris, une drôle d’affiche, au centre de laquelle trône une bouée blanche annonçant « Panique à bord », trouve écho dans cette rentrée bousculée de septembre : les gens pressés s’y attardent, y voient peut-être un amusant clin d’œil aux préoccupations sociales de saison. La réponse est dans l’image : plongeons !

 

Allons donc tremper dans cette histoire ! Un œil plus averti reconnaîtra sans doute le nom des auteurs : Stéphane Laporte – adaptateur de nombreux succès de comédies musicales, telles que I Do, I Do, Un violon sur le toit, le Roi lion – et Patrick Laviosa – talentueux compositeur du Cabaret des hommes perdus ou de Simenon et Joséphine, celui d’Agnès Boury, qui a signé de nombreuses mises en scène, comme Créatures, Madame sans gêne et les Hors-la-loi.


Nommés à plusieurs reprises aux molières, ces trois noms sont déjà de bonne augure. Et puis, une création, cela donne envie. Mais, prudence, le naufrage est toujours possible même avec les meilleurs capitaines. Entrons donc au Vingtième Théâtre, qui ouvre régulièrement ses portes au théâtre musical pour notre plus grand plaisir.


Une heure vingt plus tard et c’est le bonheur d’être toujours sur terre : seul mon maquillage a coulé tant j’ai ri, et force est de constater qu’aucun spectateur n’est porté disparu. Il faut même les obliger à partir !


Ce spectacle est une réussite. Réjouissant, au sens plein et noble du terme : « Donner de la joie. Causer une sensation agréable », dit le Littré. C’est exactement cela.


panique-a-bord-fw.jpg

© Geneviève Krieff


L’histoire ? Trois couples sur le Titanas, bateau de croisière, où les fantasmes se croisent en de futiles projets. Argent, sexe et jeunisme, recette éternelle des grands vaudevilles, se télescopent dans d’inénarrables conjugaisons. Dans Panique à bord, nul drame, pas de sujet grave. Et pourtant, ce badinage dévoile une grande poésie, une vraie tendresse pour ces agités du pathos : besoin d’amour, de famille, de reconnaissance, de caresses, toutes préoccupations du commun des mortels…


On dit bien que l’humour est la politesse du désespoir : c’est ici l’arme absolue qui déjoue toute bêtise ou toute vulgarité, en fait une fête intelligente. Six comédiens chanteurs hors pair y déploient leur fantaisie. Textes et chansons sont écrits sur mesure pour ces fabuleux talents, qui déploient virtuosité et malice dans une performance ébouriffante.


Christine Bonnard, Vincent Heden, ArianevPirié, Angélique Rivoux, Gilles Vajou, Jacques Verzier, tous formidables ! Caroline Roëlands, autre artiste de talent, propose une chorégraphie moderne et éclairée.


Drôlerie, élégance, qualité des chansons et des dialogues, harmonie des costumes, des décors et des lumières : cet équipage hors du commun fait de Panique à bord une première œuvre jubilatoire, tout en finesse, digne d’un Feydeau qui aurait fait ses classes à Broadway. 


Catherine Hendrick

Les Trois Coups

www.lestroiscoups.com


Panique à bord

Vingtième Théâtre • 7, rue des Plâtrières • 75020 Paris

Réservations : 01 43 66 01 13

Métro : Ménilmontant

www.vingtiemetheatre.com

Du 5 septembre au 31 décembre 2007,

du mercredi au samedi à 21 h 30 et le dimanche à 17 h 30

Représentations supplémentaires le 31 décembre 2007 à 18 h et 21 h 30

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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 10:52

« Les Forains », création

 

4 septembre 2007 > 14 octobre 2007

Relâche exceptionnelle le 27 septembre 2007

 

Comédie féroce de Stephan Wojtowicz

Mise en scène : Panchika Velez

1 h 40 sans entracte

Avec : Didier Brice, Nathalie Cerdà, Maxime Leroux, Aliénor Marcadé-Séchan et Matthieu Rozé

Assistant à la mise en scène : Aurélien Chaussade

Son et musique : Michel Winogradoff

Décors : Claude Plet

Lumière : Philippe Lacombe

Costumes : Marie-Christine Franc

Régie générale : Thomas Bordelais

Par Arguia Théâtre

Texte publié aux éditions de l’Amandier

 

Au-dessus d’une voie ferrée, Eddie compte les wagons qui passent. Le manège de Nono rouille dans son camion, les nougats, réglisses de Jackie moisissent dans la confiserie. Cette nuit-là, un train s’arrête. Hélène et Olivier, imprudemment en descendent.

 

Les rencontres impensables, racontées par Stephan Wojtowicz, sont génératrices d’émotion, de poésie et d’humour.

 

Les Forains raconte l’impuissance à communiquer entre « castes » différentes, dans le contexte d’un présent incertain, sur un ton politiquement incorrect.

 

theatre13.gif

 

Dans cette fable, certains codes sont inversés. Les gens de la route, qui trimballent à la petite semaine la confiserie usée, et le manège, ayant connu des jours meilleurs, sont bloqués, à l’arrêt, en panne. Ils sont dans un « nulle part », coincés entre une voie ferrée et une décharge.

 

Les gens du train, « les normaux », ceux qui filent droit devant, bien accrochés au manège, remplis de bonnes intentions et d’idées toutes faites, viennent d’en descendre par imprudence. Leur objectif sera de remonter dans le train. Mais parfois la roue tourne…

 

Il s’agit d’une pure comédie, même et surtout, si l’incommunicabilité absolue des protagonistes, évoque la tragique absurdité universelle de l’être humain. Des « affreux, sales et méchants », en frottement avec la « bonne conscience ».

Panchika Velez

 

Rencontre : dimanche 23 septembre 2007 à 17 h 30 (entrée libre)

Avec la participation de toute l’équipe artistique du spectacle et en présence de Stephan Wojtowicz.

 

Recueilli par

Les Trois Coups


Voir la critique de Catherine Hendrick pour les Trois Coups


Théâtre 13 • 103A, boulevard Auguste-Blanqui • 75013 Paris

(métro Glacière)

Représentations le mardi, mercredi, vendredi à 20 h 30, le jeudi et samedi à 19 h 30, le dimanche à 15 h 30

Réservations : 01 45 88 62 22

(du lundi au samedi de 14 h à 18 h 30,

le dimanche de 13 h 30 à 14 h 30)

22 €, 15 €

(le 13 de chaque mois, tarif unique à 13 €)

www.theatre13.com

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10 septembre 2007 1 10 /09 /septembre /2007 10:17

Le testament de Zorro : quand Zorro

se venge !

 

Estelle Gapp, jeune metteuse en scène de la compagnie Les Balbucioles a toujours été passionnée par les mots fort goûteux de l’écrivain Henri-Frédéric Blanc. Elle a choisi de l’adapter pour la deuxième fois et offre un magnifique « Testament de Zorro » aux spectateurs curieux de leur époque ; prouesse à saluer pour la qualité du jeu scénique et de l’interprétation. Après un beau succès d’estime durant le Festival de Paris au mois d’août, le Théâtre Tallia a décidé de commencer sa rentrée avec ce petit bijou de création et c’est là un véritable cadeau !

 

Zorroaffiche-web.jpgAtmosphère intimiste dans la petite salle du Théâtre Tallia : un drap, une baignoire avec son résident endormi et un voilage sensible à la moindre inspiration. La nuit peut reprendre ses droits. Ce serait sans compter le défilé d’images ensoleillées sur fond d’éclats de rire appartenant à la mémoire d’un vieil acteur qui divague depuis sa baignoire, étrange radeau immaculé en dérive sur le fil de ses souvenirs d’avant le naufrage.


On achève bien les chevaux, comment opère-t-on pour les artistes ayant fait leur temps, les acteurs dépassés ? Tout s’anime et le ranime. Celui qui a été Zorro de toute son âme sort de l’ombre une dernière fois, malgré les « outrages du temps » et les « outrances de rage ». Son ultime combat ? Pourfendre l’injustice et dénoncer la perfidie des calculs intéressés de la société compromise. Quelques accalmies s’inviteront le temps d’un possible mirage nommé Katalin. Cette muse onirique fut en effet son « coup de réalité » dans tous ses « coups de théâtre » joués avec ferveur, et pourtant si rapidement déjoués par les mesquineries de la petitesse humaine.


Adapter une pièce sans trahir le texte de référence n’est pas aisé, et l’exercice de style peut vite devenir périlleux lorsqu’il s’agit de donner à vivre un monologue dialogué. Ainsi, il faut être habitée comme Estelle Gapp pour animer des mots qui sont déjà si vibrants. En effet, faire se côtoyer, sans aucune redondance avec le dire, des images projetées, des notes cristallines et des figures de danse au ralenti participe d’une maîtrise de la mise en scène particulièrement rare.


Merci donc à cette magicienne, qui a su créer une alchimie merveilleuse que l’on pourrait retrouver dans les brumes poudrées d’un David Hamilton intemporel. Car voilà : l’ensorcellement dure, et il est surprenant de constater que plus tard, plus loin, le jeu scénique que l’on se repasse en mémoire expose de nouveaux niveaux de lecture, révèle en pointillés d’autres subtilités que l’on a plaisir à savourer, encore.


Chapeau bas à Jean-Pierre de Lavarene, qui réussit à dompter un texte si contrasté. Avec panache, il module emphase et ironie, jusqu’au moindre détail mesquin, qui engendre le rire complice. L’ennui n’est pas de mise ! Impossible ! Le « démasqueur masqué » déclame, éructe, raconte, oublie, explique, se souvient, rêve à demi, revit ses drames, mais espère encore et toujours. Les situations s’esquissent et se vivent tour à tour, dans une fabuleuse mise en abyme habilement orchestrée. Ce vieux comédien abandonné sur sa voie de garage comme à ses voix sans sevrage entraîne le spectateur, avec fougue et douceur savamment mêlées, au cœur des faux-semblants.


Le regard bascule alors dans le miroir incisif de la société, qui ne cesse d’entretenir les frustrations et les fourberies des calculateurs aigris et patentés. La gravité des propos est relevée par la grâce aérienne de Coralie Bonnemaiso, une Katalin inondant d’arabesques légères et de boucles d’air évanescentes les cloisons poreuses d’une mémoire meurtrie, qui se défait de ses dernières ombres avant de rejoindre les limbes de l’oubli. Un peu de beauté et d’éternité dans ce monde de brutes, quelles bouffées d’oxygène !


Incontestablement un joyau de théâtralité, qui n’a pas fini de faire parler de lui ! À voir et à revoir, ça aide à garder espoir et ça, ça fait du bien ! 


Cynna

Les Trois Coups

www.lestroiscoups.com


Le Testament de Zorro, comédie noire de Henri-Frédéric Blanc

Compagnie Les Balbucioles • 20, rue du Maréchal-Juin • 94700 Maison-Alfort

06 64 43 65 50

contact@lesbalbucioles.com

Adaptation et mise en scène : Estelle Gapp

Avec : Jean-Pierre de Lavarene et Coralie Bonnemaiso

Création visuelle : Isabelle Lassalle

Diffusion : Estelle Gapp

Théâtre Tallia • 40, rue de la Colonie • Paris XIIIe

Métro Tolbiac ou Corvisart ou Place-d’Italie

Réservations : 01 45 80 60 90

ou www.tallia.fr ou www.lesbalbucioles.com

Du 9 au 23 septembre 2007

Les mardis 11 et 18, les mercredi 12 et 19 septembre 2007 à 20 heures, les dimanches 9, 16 et 23 septembre 2007 à 18 heures

Durée : 1 heure

16 € | 10 € 

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9 septembre 2007 7 09 /09 /septembre /2007 14:10

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1 septembre 2007 6 01 /09 /septembre /2007 23:59

De la confusion des genres

 

« Paris au mois d’août » n’est pas qu’une expression estivale ; c’est aussi un festival de théâtre qui pour sa 2e édition a programmé du 1er juillet au 2 septembre plus de 26 compagnies dans les deux théâtres partenaires de l’évènement : le Théâtre Tallia (13e) et le Théâtre des Deux-Rêves (19e). Ce soir-là, dans la salle Cyrano du Théâtre Tallia, les comédiens de la compagnie marseillaise Scènes d’esprit s’activent le temps d’une tempête de neige, suent sang et eau, griment, singent, braillent, pour faire rire en mode répétition avec leur « État d’urgence », une comédie signée Franckie Charras. Dérapage non contrôlé du théâtre vers le café-théâtre dans la plus grande confusion des intentions !

 

etat-durgence-web.jpgLendemain de fête pour l’équipe qui contribue au développement d’une boîte de production. En ce petit matin tout blanc, Marie-Catherine, l’assistante de direction très stricte de Foucker et Prod, bat le rappel et réveille un peu mieux Loïc, le standardiste toujours en tenue de super héros de sa nuit costumée. Aujourd’hui est un grand jour pour l’agence : celui du lancement d’une nouvelle saga-réalité sur Internet. Mais c’est sans compter la fabuleuse tempête de neige qui va immobiliser le pays, et donc rendre impossible la venue des comédiens annoncés pour lancer en exclusivité cette nouvelle série dans un spot de trente secondes à la manière de « Lost ».

 

Arrive l’un des patrons encore déguisé en « Rabbit » à la Play-Boy pour l’évènement de la veille. Une journée d’agence en ébullition va défiler, de stress en quiproquos, de rendez-vous oubliés en rencontres redoutées. Une comédienne hystérique métamorphosée en pinky baby doll (forcément) et un journaliste imbu de lui-même (forcément aussi) donneront la réplique aux membres de cette société de production. Huis clos potentiellement haut en couleur.

 

On pense se détendre, mais c’est le plongeon direct dans le stress d’une boîte de prod’, si proche de celui d’une agence de com’ la veille du lancement de produit. Ceux qui connaissent ne seront pas dépaysés, même si le trait est quelque peu forcé pour bien comprendre, on ne sait jamais. Comprendre quoi d’ailleurs ? Qu’un directeur d’agence est dyslexique, et que son esprit, quand il parvient à dépasser celui de la ceinture, atteint le premier degré bien terre-à-terre ? Qu’une assistante glaciale et pince-sans-rire, à lunettes et en tailleur bien sûr, est forcément une catholique coincée (drôle de Marie-Catherine peu crédible, qui devrait s’appeler Thérèse et remercier Anémone d’ailleurs !) ? Qu’une comédienne en quête de reconnaissance fulgurante peut virer en démon assassin tiré de la 45e dimension ?

 

Comment réussir à faire rire sans sombrer dans l’exagération, sans sortir la grosse artillerie des anciens même si elle est usée jusqu’à la corde parce que devenue culte ? Franckie Charras a tenté de relever le défi, avec des personnages bien campés, pris dans un rythme effréné, où le comique de situations flirte avec des mots sens dessus-dessous. Pourtant, on se demande si l’esprit de la troupe du Splendid n’a pas inspiré ce jeune auteur qui tient le rôle de Loïc-Frolic-Volvic-Couick ou tout autre mot qui sonne en « hic ». Car voilà : trop c’est trop ! Le rire est une mécanique. Ici, il devient la technique du bateleur des foires. En effet, l’auteur utilise si souvent les mêmes ressorts pour déclencher le rire que l’on finit par soupirer et patienter, penser à autre chose. Déjà, l’esprit vagabonde, s’évade derrière tout le mobilier du décor, plane au-delà des accès de folie de Dorothy la star flashy, ignore les sonneries de téléphones portables en prolongements audibles de la personnalité des protagonistes – s’il fallait encore ajouter un complément d’information sur leur « moi profond ».

 

Le genre « comique » en théâtre n’est pas aisé : tout est histoire de bons dosages. Or, quand on en arrive au huitième réassort d’une boutade en déclinaison plurielle, on a envie de passer à autre chose. Vraiment. Le cabotinage du stagiaire s’alourdit, l’exaspération calculée de l’assistante est de moins en moins crédible et la folie douce de Dorothy est une caricature où il ne fait pas bon sombrer.

 

Aller jusqu’à dire que c’est hilarant serait exagéré, mais bon, puisque État d’urgence plonge dans l’exagération, pourquoi pas ? Je peux l’écrire simplement parce que j’ai été témoin d’une salle assaillie par des vagues de rire très fourni. C’est à se remettre en question. De quoi rit le public aujourd’hui ? De situations qui font référence à la culture télévisuelle des grandes émissions de reality à forte audience ? De méchancetés sur des inepties politiques ? De blagues commentées et réitérées ? De la bêtise caricaturale dont sont victimes les personnages, chacun flanqué d’une anomalie psychologique provoquée par la vie moderne ? Est-ce parce que l’on reconnaît parmi ses proches quelqu’un comme cette assistante trop droite pour être catholique ou le brave type en réinsertion professionnelle ? Ou est-ce encore parce que l’on imagine très bien qu’une comédienne ne puisse être que schizophrène et que les journalistes de canards à scandales comme Voiça sont évidemment de gros Narcisse frustrés en manque de notoriété ? Ça peut faire rire effectivement.

 

Ceux qui viendront découvrir ce spectacle « pour rire » seront satisfaits de rire, car c’est un spectacle qui fait rire : bien monté, bien interprété, et qui dure longtemps (un peu moins de deux heures). Les familles qui emmènent leurs post-ados collés de leur amoureuse timide pourront, elles aussi, dire : « Nous sommes allés au théâtre et on a beaucoup ri. »

 

Cependant, est-ce du théâtre ? Comme beaucoup de spectacles, État d’urgence sort du théâtre et va vers le café-théâtre. Il a su développer tout un ensemble d’engrenages bien huilés pour que la mécanique du rire ne grince pas. Cette tartufferie titille les instincts primaires, donne quelques références presque universelles puisque télévisuelles pour conforter tout le monde, et distille deux « trucs » (1) pour faire penser à l’art théâtral. Effectivement, l’art, au-delà du contenu, a aussi ses codes. C’est un peu comme l’usage de mots précieux dans un texte de vulgarisation qui se voudrait littéraire. Ici, il suffit de deux pirouettes dans le scénario pour laisser « croire » que l’on a vécu quelque chose de pensé, d’écrit (2). L’imposture fonctionne. Vive les études sur la psychologie du public, pour mieux cerner ses attentes et y répondre en effets de jeu ou scènes capables de l’influencer ! Or, c’est agir a contrario de la création. C’est elle, et elle seule, qui déclenche un effet, et non la représentation de quelque chose qui le suscite. Il ne faut donc pas confondre les genres !

 

Que tous ceux qui apprécient le café-théâtre continuent de se régaler de cet État d’urgence. Le rire les touchera sûrement de sa grâce. 

 

Cynna

Les Trois Coups

www.lestroiscoups.com


(1) Merci pour l’autoproclamation mégalomaniaque du statut d’auteur, nimbé ici dans sa douche de lumière qui arrive comme un cheveu sur la soupe, pour se gargariser d’une explication dans le texte avec un Deus ex machina manichéen ! Ça manquait, c’est vrai !

(2) Superbe scène de fin, avec cette prise en otage des avis pour désamorcer si facilement les incendies propagés tout au long de la représentation ! C’est une belle manière de rencontrer la subtilité avec ses gros sabots dans toute sa lourdeur !


État d’urgence, de Frankie Charras

Compagnie Scènes d’esprit • château des Creissauds • le clos Rufisque • 13400 Aubagne

04 42 84 90 53

Mise en scène : Frédéric Achard

Avec : Nicolas Dromard, Géraldine Bascou, Franckie Charras, Céline Defay, Jean-Pierre Gourdain

Théâtre Tallia • 40, rue de la Colonie • Paris 13e

Métro Tolbiac ou Corvisart ou Place-d’Italie

Réservations : 01 45 80 60 90

Du 1er août au 2 septembre 2007

Du jeudi au samedi à 21 h 30, dimanche à 19 h 30

Durée : 1 h 30

16 € | 10 € 

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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 17:06

À l’affiche des Francophonies en Limousin

 

Théâtre

 

Penthesilea d’après Von Kleist (théâtre musical)

Mise en scène et jeu : Françoise Berlanger (Belgique)

 

Gembloux, texte collectif

Mise en scène de Gennaro Pitisci (Belgique)

 

Peut-être de Jean-Paul Delore – création (France/Mozambique)

 

Maintenant ils peuvent venir d’Arezki Mellal

Mise en scène de Paul Desveaux (Algérie/France)

 

Ubu Buur de Marco Martinelli, d’après Jarry – création

Mise en scène de Marco Martinelli (France/Italie/Sénégal)

 

Convives d’Eugène Savitskaya – création (Belgique)

 

Litanie de Guy Dermul et Raven Ruëll

Mise en scène de Guy Dermul

Première en France (Belgique)

 

Djurdjurassique bled de Fellag, par Mohamed Ouachen

Mise en scène de David Strosberg

Première en France(Belgique)

 

Genova 01 et Nature morte dans un fossé de Fausto Paravidino

Mise en scène de Denis Maillefer

Première en France (Italie/Suisse)

 

Attitude clando de et par Dieudonné Niangouna (Congo)

 

francophonies-affiche-2007-web.jpg

 

Danse

 

Correspondances de Ketty Noël et Nelisiwe Xaba (Mali/Afrique du Sud)

 

OK Jaz’en forme de Fred Bendongué (France/Congo)

 

C’est ça la vie !, hip-hop, Cie Pokemon Crew (France)

 

Khoom de Nicole Mossoux

Mise en scène de Patrick Bonté et Nicole Mossous

Première en France (Belgique)

 

Fractal de Karim Ahansal et Mohamed Sialiti (Frane)

 

Palabre et Design d’Andreya Ouamba

Première en France (Sénégal)

 

Musique

 

Concerts :

Diario Mali (Italie/Mali),

Les Tambours de Brazza (Congo),

Rachid Taha (Algérie)

 

Au Zèbre :

Ahamada Smis, Christian Laviso trio (Guadeloupe),

K. Kouztik (Guadeloupe),

Chico Antonio (Mozambique),

Fenoamby (Madagascar),

Mangueo, Pensée nègre brute, Nuru Kane (Sénégal),

A love supreme d’Emmanuel Dongala (mise en scène de Luc Clémentin)

Nomade Slam, Jean-Pierre Leblanc

(Canada/Nouveau-Brunswick)

 

Jacques Morlaud

Les Trois Coups

www.lestroiscoups


Réservations et locations au bureau du Festival ou par courrier

Les Francophonies en Limousin • 11, avenue du Général-de-Gaulle • 87000 Limoges

Par téléphone :

– avant le 31 août 2007 : 05 55 10 90 10

– à partir du 31 août 2007 : 05 55 79 00 57

– à partir de juin 2007 pour les réservations groupes : 05 55 79 00 75

Télécharger le bulletin de réservation au format pdf (52 ko)

Par Internet

location FNAC, Carrefour, Géant, Hyper U

0892 68 36 22 (0,34 €/min) et sur www.fnac.com

Site des Francophonies

http://www.lesfrancophonies.com/index.html

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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 17:00

Francophonies en Limousin

 

Un festival dense et diversifié

 

Marie-Agnès Sevestre, directrice des Francophonies en Limousin vient de détailler la 24e édition du Festival prévue du 25 septembre au 7 octobre 2007.

 

Le nombre de spectacles est en augmentation au regard de l’an passé (35 au lieu de 26), de quoi satisfaire les publics avides de découvertes. Il y aura en effet trois créations, dix premières en France et sept coproductions. Cette année, Marie-Agnès Sevestre a pris le temps d’élaborer la programmation, à l’intérieur de laquelle la danse gagne du terrain. La Belgique est fortement représentée avec six spectacles.

 

D’ailleurs, d’une façon générale c’est la « francophonie européenne » qui est mise en valeur avec des productions d’Italie, de France, de Suisse et bien sûr de Belgique (trois spectacles sont produits par KVS, collectif d’artistes pluridisciplinaires).

 

francophonies-logo-web.jpg

 

D’après Marie-Agnès Sevestre, s’il y avait une thématique à lire dans cette programmation ce serait « les regards de la vieille Europe sur elle-même, ses valeurs et la crise de ses valeurs ». L’ouverture – très tendance en ce moment – se traduit par la collaboration avec le Mozambique, pays non francophone. Le métissage des cultures sera très présent et les formes artistiques, qui s’entremêleront parfois, se révéleront éclectiques. De ce point de vue, les langues ne seront pas en reste, puisque tout au long du Festival, outre le français, ou pourra saisir du « franglarabe », du patois flamand, du berbère, du wolof…

 

Le hip-hop occupera une position forte en danse et musique. Cette dernière sera particulièrement rythmée au Zèbre avec, notamment, des groupes de Guadeloupe et de Madagascar. C’est autour de la musique, « entre tradition et modernité », que l’Afrique sera la plus présente avec des artistes du Congo, du Sénégal, de Côte d’Ivoire… Rachid Taha devrait pour sa part attirer de nombreux fans au CCM John-Lennon de Limoges, y compris des personnes qui ne connaissent pas encore les Francophonies.

 

Jacques Morlaud

Les Trois Coups

www.lestroiscoups


Réservations et locations au bureau du Festival ou par courrier à

Les Francophonies en Limousin • 11, avenue du Général-de-Gaulle • 87000 Limoges

Par téléphone :

– avant le 31 août 2007 : 05 55 10 90 10

– à partir du 31 août 2007 : 05 55 79 00 57

– à partir de juin 2007 pour les réservations groupes :

05 55 79 00 75

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Par Internet

location FNAC, Carrefour, Géant, Hyper U

0892 68 36 22 (0,34 €/min) et sur www.fnac.com

Site des Francophonies

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29 août 2007 3 29 /08 /août /2007 21:45

Théâtre du Hangar, saison 2007-2008

 

Le mardi 18 septembre 2007 à 19 heures :

présentation de saison suivie d’un buffet

 

Le Théâtre du Hangar-Compagnie Jacques-Bioulès est avant tout un lieu qui se greffe sur de simples énoncés de théâtre, sur un partenariat de confiance et d’exigence.

 

Fidèle à sa propre liberté, qu’il désire conserver pour éviter toutes formes de compromissions, il reste attaché aux ancrages des textes, dont les subtilités sont avant tout généreuses, émotives, et proposent de surcroît les jaillissements des différences.

 

Fidèle aux amitiés de ses occupants, parce que loyaux, le Théâtre du Hangar peut pratiquer l’illustration des tracés irréversibles en évitant les images flatteuses et nébuleuses des répétitions publiques, en évitant les fausses fiestas des chantiers. (À ses yeux, ce genre de manifestation témoigne davantage d’une paresse, d’un profond sommeil.)

 

Il faut, comme le souhaitaient Baudelaire et Delacroix, transmuer en fêtes théâtrales les massacres.

 

Le Théâtre du Hangar, sans cesse, propose et proposera toujours les grands secrets, leurs expressions et leurs variantes. Leurs toiles de fond aux mille reflets sont éprises de liberté, car elles laissent des empreintes dans le laboratoire de la création.

 

Il est important pour nous de saluer l’aveu des réciprocités, elles nous animent et sont toujours sans limites pour la joie de vivre.

 

Parce que le Théâtre du Hangar a des goûts très simples, il se contente du meilleur.

Jacques Bioulès

 

hangar-logo.jpg

 

L’Autre Nuit, de Jacques Bioulès

Mise en scène et décor : Jacques Bioulès

Avec : Fabienne Augié, Jean-Yves Duparc, David Stanley

Du 16 au 27 octobre 2007

Création

 

Pour l’amour du ciel

Paul des oiseaux

la Comète, d’Alain Borer

Mise en scène : Clément Peretjatko

Avec : Clément Peretjatko, Przemyslaw Piotrowski

Du 6 au 17 novembre 2007

Création

 

Requiem (with a happy end), de Dominique Wittorski

Mise en scène : Dominique Wittorski

Avec : Alexandre Aflalo, Raphaël Almosni, Yves Arnault, Sylvie Gravagna, Caroline Guth, Baptiste Vivien, Dominique Wittorski

Du 8 au 20 décembre 2007

Création

 

Le Fumier, de Saint-Pol-Roux

Mise en scène : Claude Merlin

Avec : Benjamin Abitan, Basile Bernard de Bodt, Stanislav Dorochenkov, Anne-lise Main, Françoise Pons, Christine Schaller, Fanny Touron, Claude Merlin

Du 4 au 15 janvier 2008

 

Le Don J, de Jean Reinert

Mise en scène et décor : Jacques Bioulès

Avec : Fabienne Augié, Jacques Bioulès, Stéphane Gilletta, Patrick Hannais, Évelyne Torroglosa, Tessa Veyrié, distribution en cours…

Du 26 février au 8 mars 2008

Création

 

Scanner, nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu (hurlements en faveur de Guy Debord)

Pièce pamphlétaire pour trois films et sept acteurs

D’après l’œuvre critique et cinématographique de Guy Debord

Conception, réalisation et mise en scène : David Ayala

Avec : Sophie Affholder, Jean-Claude Bonnifait, Diane Calma, Roger Cornillac, Christophe Labas-Lafite, Alexandre Morand, Véronique Ruggia

Du 1er au 12 avril 2008

Création

 

Recueilli par

Les Trois Coups


Théâtre du Hangar-Compagnie Jacques-Bioulès

Centre d’art et de recherche • 3, rue Nozeran • 34090 Montpellier

Tram ligne 1 – station Albert-Ier

04 67 41 32 71

theatreduhangar@wanadoo.fr

http://www.theatreduhangar.com

Tarifs : 13 €, 9 € et 5 €

Horaires :

Mardi, vendredi, samedi : 20 h 45

Mercredi, jeudi : 19 heures

Dimanche : 17 heures

Relâche le lundi

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29 août 2007 3 29 /08 /août /2007 19:57

Concert Jean-Marc Le Bihan

 

Le prochain concert de Jean-Marc Le Bihan à Lyon est le 20 septembre 2007 au Kraspek myzik à 20 h 30

 

jean-marc-le-bihan-web.jpg

 

Jean-Marc Le Bihan accompagné de ses musiciens :

David Rivièe, arrangements, piano

Balthazar Le Bihan, basse

Pierre Vanaret, batterie

Gilloux Lakaskad, « machine à meuh »

 

Recueilli par

Les Trois Coups


Voir la critique d’Esther Mano pour les Trois Coups


Pour tous renseignements : kraspek myzik

20, montée Saint-Sébastien • 69001 Lyon

06 62 75 04 22

contact@lerockepamort.org

www.lerockepamort.org

Tarifs | PAF : 4 € et 6 €

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29 août 2007 3 29 /08 /août /2007 00:59

Festival d’automne à Paris

Programme théâtre et danse

 

Lars Norén

la Veillée

Théâtre de la Bastille

17 septembre au 20 octobre 2007 à 21 h

dimanche 17 h,

relâche lundi et 20 septembre 2007

13 € à 20 €

Abonnement 13 €

Durée : 1 h 50

Mise en scène : Mélanie Leray, Pierre Maillet

Avec Pierre Hiessler, Mélanie Leray, Vincent Voisin, Valérie Schwarcz

 

Abbas Kiarostami

Looking at Tazieh

Centre Pompidou

19 au 22 septembre 2007 à 18 h 30 et 20 h 30

10 € à 14 €

Abonnement 10 €

Durée : 1 h 10

 

Josse De Pauw | CollegiumVocale Gent

Ruhe

Maison de l’architecture

(salle de la chapelle)

24 au 29 septembre 2007 à 20 h,

dimanche 30 septembre à 17 h

14 € à 23 €

Durée : 1 h 15

En flamand surtitré en français

Conception et mise en scène : Josse De Pauw

Avec Josse De Pauw ou Dirk Roofthooft, Carly Wijs

 

Rabih Mroué

Qui a peur de la représentation ?

Centre Pompidou

26 au 29 septembre 2007 à 20 h 30

10 € à 14 €

Durée : 60 minutes

Spectacle en arabe et en français, surtitré en français

Une performance de Rabih Mroué

Écriture et direction : Rabih Mroué

Avec Lina Saneh, Rabih Mroué

 

festival-dautomne2007-web.jpg

 

Arne Lygre | Claude Régy

Homme sans but

Odéon-Théâtre de l’Europe aux Ateliers Berthier

27 septembre au 10 novembre 2007 à 20 h,

dimanche à 15 h, relâche le lundi

13 € à 26 €

Durée : 2 h

Mise en scène : Claude Régy

Avec Jean-Quentin Chatelain, Redjep Mitrovitsa, Axel Bogousslavsky, Bulle Ogier, Marion Coulon, Bénédicte Le Lamer

 

Stéphane Olry | Benjamin Franklin

Treize semaines de vertu

Château de La Roche-Guyon

29 et 30 septembre 2007 à 15 h et 17 h

Tarif unique : 7,50 €

Archives nationales | Hôtel de Soubise

24 octobre 2007 au 4 novembre 2007 à 19 h

27 octobre 2007 et 3 novembre 2007 à 12 h

28 octobre 2007, 1er et 4 novembre 2007 à 12 h et 19 h

relâche 29 octobre 2007

14 € et 10 €

Durée : 1 h 20

Texte : Stéphane Olry

Joué par Stéphane Olry et Mathias Poisson

 

Odön von Horváth | Christoph Marthaler

Geschichten aus dem Wienerwald (Légendes de la forêt viennoise)

Théâtre national de Chaillot

4, 5 et 6 octobre 2007 à 20 h 30

17 € à 33 €

Durée : 3 h avec entracte

Spectacle en allemand surtitré en français

Mise en scène : Christoph Marthaler

Avec Josef Ostendorf, Bettina Stucky, Ueli Jäggi, Stefan Kurt, Katja Kolm, Matthias Matschke, Marc Hosemann, Ulrich Voss, Thomas Wodianka, Rosemarie Bärhold, Hildegard Alex, Susanne Düllmann, Clemens Sienknecht

 

Rachid Ouramdane

Surface de réparation

Théâtre de Gennevilliers

5 au 27 octobre 2007,

mardi et jeudi à 19 h 30

mercredi, vendredi et samedi à 20 h 30

relâche dimanche et lundi

12 € à 22 €

 

festival-dautomne2007-web.jpg

 

Rabih Mroué

How Nancy Wished That Everything Was an April Fool’s Joke

Théâtre de la Cité internationale

8 au 14 octobre 2007 à 20 h,

dimanche à 17 h 30, relâche mercredi

10 € à 21 €

La Ferme du Buisson | scène nationale de Marne-la-Vallée

20 octobre 2007 à 19 h

et 21 octobre 2007 à 16 h

13 € et 20 €

Durée : 1 h 30

Spectacle en arabe surtitré en français

Mise en scène : Rabih Mroué

Texte : Fadi Toufic et Rabih Mroué

Avec Lina Saneh, Hatem El-Imam, Ziad Antar, Rabih Mroué

 

Mathilde Monnier

Tempo 76

Théâtre de la Ville

9 au 13 octobre 2007 à 20 h 30

13 € et 23 €

Un spectacle de Mathilde Monnier

Avec Yoann Demichelis, Herman Diephuis, Julien Gallée-Ferré, Jung-ae Kim, Natacha Kouznetsova, Maud Le Pladec, I-fang Lin, Éric Martin, Rachid Sayet

 

Enrique Diaz

Seagull-Play (la Mouette)

La Ferme du Buisson | scène nationale de Marne-la-Vallée

12 octobre 2007 à 21 h 15,

13 octobre 2007 à 21 h

et 14 octobre 2007 à 19 h

13 € et 20 €

Durée : 1 h 35

Spectacle en brésilien surtitré en français

D’après la Mouette d’Anton Tchekhov

Mise en scène : Enrique Diaz

Avec Enrique Diaz, Bel García, Gilberto Gawronski, Mariana Lima, Emílio de Mello, Felipe Rocha, Isabel Teixeira

 

festival-dautomne2007-web.jpg

 

Lars Norén

Le 20 novembre 2007

Maison des arts à Créteil

16 au 26 octobre 2007 à 20 h 30,

relâche dimanche

10 € à 20 €

Texte et mise en scène : Lars Norén

Interprétation : Anne Tismer

 

Ricardo Bartís

De mal en peor (De mal en pis)

MC 93 Bobigny

16 au 20 octobre 2007 à 20 h 30,

21 octobre 2007 à 15 h 30

12 € à 25 €

Durée : 90 minutes

Spectacle en espagnol surtitré en français

Un spectacle de Ricardo Bartís

Avec Cecilia Pelufo, Augustín Rittano, Marta Pomponio, Carlos Defeo, Claudia Cantero, Luciana Ladisa, Flora Gró, Federico Martinez, Alberto Ajaka, Andrea Nussembaum, Matias Bringeri

 

Xavier Le Roy

le Sacre du printemps

Centre Pompidou

19 octobre 2007 à 20 h 30,

20 octobre 2007 à 17 h et 20 h 30

Tarif unique : 10 €

Durée : 45 minutes

Musique : Igor Stravinsky

Concept et interprétation : Xavier Le Roy

 

Lina Saneh

Appendice

Théâtre de la Cité internationale

22 au 28 octobre 2007, tous les jours 20 h,

dimanche à 17 h30, relâche 24 octobre 2007

10 € à 21 €

Durée : 50 minutes

Avec Rabih Mroué et Lina Saneh

 

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Jean-Luc Lagarce | Les Possédés | Rodolphe Dana

Derniers remords avant l’oubli

Théâtre de la Bastille

23 octobre 2007 au 25 novembre 2007 à 19 h 30,

dimanche à 15 h30

relâche 25 octobre 2007 et lundi

13 € et 20 €

La Ferme du Buisson | scène nationale de Marne-la-Vallée

27 novembre 2007 au 1er décembre 2007 à 20 h45,

2 décembre 2007 à 17 h,

relâche jeudi

13 € et 20 €

La Scène-Watteau, Nogent-sur-Marne

6 au 8 décembre 2007 à 20 h 30

7 € à 20 €

Durée : 1 h 15

Avec David Clavel | Rodolphe Dana (en alternance), Katja Hunsinger, Nadir Legrand, Marie-Hélène Roig, Christophe Paou

 

Meg Stuart /Damaged Goods and EIRA

Blessed

Théâtre de la Bastille

24 octobre 2007 au 2 novembre 2007 à 21 h

relâche le 28 octobre 2007 et 29 octobre 2007

13 € et 20 €

Durée : 1 h 20

Chorégraphie : Meg Stuart

Créé avec et dansé par Francisco Camacho et Kotomi Nishiwaki

 

Emanuel Gat

Petit torn de dança

My Favourite Things

Through The Center, All of You, at The Same Time and Don’t Stop

Maison des arts à Créteil

25 et 26 octobre 2007 à 20 h 30

10 € à 20 €

Durée : 1h30

Direction : Vincent Dumestre

 

Tim Etchells

That Night Follows Day

Centre Pompidou

1, 2 et 3 novembre 2007 à 20 h 30

10 € et 14 €

Durée : 1 h 10

Spectacle en néerlandais surtitré en français

Conception, texte et mise en scène : Tim Etchells

Avec Tessa Acar, Hannah Bailliu, Michiel Bogaert, Spencer Bogaert, Lina Boudry, Taja Boudry, Tristan Claus, Amber Coone, Tineke De Baere, Florian De Temmerman, Yen Kaci Lana Lippens, Jérôme Marynissen, Isotta Mergaert, Aswin Van de Cotte, Viktor Van Wynendaele, Ineke Verhaegen

 

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Julie Brochen

Variations | Jean-Luc Lagarce

« Paroles d’acteurs »

Théâtre de l’Aquarium

6 au 11 novembre 2007 à 20 h 30,

dimanche à 16 h

Tarif unique : 5 €

Textes de Jean-Luc Lagarce

Mise en scène : Julie Brochen

Distribution en cours

 

Rodrigo García

Arrojad mis Cenizas sobre Mickey (Et balancez mes cendres sur Mickey)

Théâtre du Rond-Point

8 au 17 novembre 2007 à 21 h,

dimanche 18 novembre 2007 à 15 h,

relâche 11 novembre 2007

et lundi 12 novembre 2007

14 € à 33 €

Spectacle en espagnol surtitré en français

Durée : 2 h

Texte et mise en scène : Rodrigo García

Avec Jorge Horno, Nuria Lloansi, Juan Loriente

 

Amir Reza Koohestani

Recent Experiences

Théâtre de la Bastille

8 au 18 novembre 2007 à 21 h,

dimanche à 17 h

relâche le 12 novembre 2007

13 € et 20 €

Spectacle en persan surtitré en français

Durée : 85 minutes

Une pièce d’Amir Reza Koohestani

Interprètes : Baharan Baniahmadi, Saeid Changizian, Mitra Gorgi, Sahar Dowlastshani, Setareh Pessyani, Foad Mokhberi

 

Luc Bondy | Marivaux

la Seconde Surprise de l’amour

Théâtre Nanterre-Amandiers

10 novembre 2007 au 28 décembre 2007 à 20 h 30,

dimanche à 15 h 30

relâche lundi et 7 décembre 2007

12 € à 25 €

Durée : 2 h

Mise en scène : Luc Bondy

Avec Clotilde Hesme, Louis Garrel, Audrey Bonnet, Pascal Bongard, distribution en cours

 

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Emmanuelle Huynh

le Grand Dehors

Centre Pompidou

14 au 17 novembre 2007 à 20 h 30

10 € et 14 €

Chorégraphie et conception : Emmanuelle Huynh

Interprétation : Stéphanie Beghain, Nuno Bizarro, François Chaignaud, Emmanuelle Huynh, Marlene Monteiro-Freitas, Joana Trinidade von Mayer

 

Raimund Hoghe

Boléro Variations

Centre Pompidou

21 au 24 novembre 2007 à 20 h 30

10 € et 14 €

Conception, chorégraphie et danse : Raimund Hoghe

Avec Lorenzo De Brabandere, Emmanuel Eggermont, Raimund Hoghe (distribution en cours)

 

Merce Cunningham | Dance Company

Crises

EyeSpace

CRWDSPCR

Théâtre de la Ville

4 au 8 décembre 2007 à 20 h 30,

9 décembre 2007 à 15 h

14 €, 50 € et 26 €

Chorégraphie : Merce Cunningham

Interprètes : Cédric Andrieux, Jonah Bokaer, Lisa Boudreau, Julie Cunningham, Brandon Collwes, Emma Desjardins, Holley Farmer, Jennifer Goggans, Rashaun Mitchell, Koji Mizuta, Marcie Munnerlyn, Daniel Squire, Robert Swinston, Andrea Weber

 

Dood Paard | William Shakespeare

Titus

Maison des arts à Créteil

6, 7 et 8 décembre 2007 à 20 h 30

10 € à 20 €

En hollandais surtitré en français

Mise en scène : Kuno Bakker, Gillis Biesheuvel, Coen Jongsma, Sara De Roo, René Rood, Manja Topper, Oscar van Woensel, Anne Karin Ten Bosch

Avec Sara De Bosschere, Oscar van Woensel, Gillis Biesheuvel, Manja Topper et Kuno Bakker

 

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Via Katlehong Dance | Robyn Orlin | Christian Rizzo

Imbizo e Mazweni

Maison des arts à Créteil

6, 7 et 8 décembre 2007 à 20 h 30

10 € à 20 €

Durée : 1 h 10

 

tg STAN | Thomas Bernhard

« Sauve qui peut », pas mal comme titre

Théâtre de la Bastille

11 au 22 décembre 2007 à 21 h

relâche 16 et 17 décembre 2007

13 € et 20 €

D’après les Dramuscules de Thomas Bernhard

De et avec Jolente De Keersmaeker, Sara De Roo et Damiaan De Schrijver

Mise en place : Matthias de Koning

 

Alain Buffard

(Not) a Love Song

Centre Pompidou

12 au 15 décembre 2007 à 20 h 30,

16 décembre 2007 à 17 h

10 € et 14 €

Conception : Alain Bufard

Fabrication, interprétation : Miguel Gutierrez, Vera Mantero, Claudia Triozzi

 

Recueilli par

Les Trois Coups


Comment réserver ses places au Festival d’automne à Paris ?

• En ligne 24/24 h et 7/7 jours :

sur le site www.festival-automne.com

(cliquez sur 36e édition, puis sur billetterie)

À partir du 3 septembre 2007

• Par téléphone au 01 53 45 17 17

du lundi au vendredi de 11 h à 18 h

et le samedi de 11 h à 15 h

Festival d’automne à Paris • 156, rue de Rivoli • 75001 Paris

Télécopie : 01 53 45 17 01

info@festival-automne.com

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